Le tramway : efficace et peu onéreux

Parmi les catégories de moyens de transport public, le tramway ainsi que le bus sont dans le top 3. Pourtant, entre les deux, la première alternative est la moins polluante pour la planète. Le tramway détient l’avantage d’être efficace, tout en étant peu cher. Vous pouvez donc vous déplace selon vos besoins, sans trop débourser. Sachez que le métro peut se substituer au tramway, s’il n’en existe pas dans votre pays.

La voiture électrique : confortable et peu énergivore

La voiture électrique n’est pas « totalement » écologique, mais constitue une alternative aux voitures thermiques. Elle est moins énergivore et est composée d’un système particulièrement efficace pour diminuer l’émission de CO2.

La voiture électrique est idéale pour les personnes agoraphobes ou qui ne peuvent se permettre d’aller fréquemment en transport en commun (longue distance de trajet, commerciaux, etc.). D’ailleurs, il est plus confortable de rouler dans une voiture privative. Parmi les nombreux modèles de voiture électrique, la Tesla est parmi les plus conseillés par les experts.

Le vélo électrique : gratuit et bon pour la santé

Le vélo a toujours été le parfait exemple de moyen de déplacement écoresponsable. Il n’a besoin d’aucun combustible pour marcher et est facile à conduire. Mis à part le fait que le vélo électrique soit peu polluant pour Mère Nature, il est aussi très bon pour la santé. Depuis la crise énergétique et l’augmentation du prix du fioul, de plus en plus de particuliers optent pour cette alternative.

Et pour ceux qui habitent loin, le vélo électrique est une option à creuser. Vous n’aurez aucun effort physique à faire, du moment que vous chargez le vélo avant de sortir le matin. Le vélo électrique coûte en moyenne 1 500 €, selon le modèle et la marque. Pour son achat, vous pouvez bénéficier des aides octroyées par l’État. Renseignez-vous pour en savoir les critères d’éligibilité et le plafond.

Trier ses déchets

L’intérêt de trier ses déchets réside dans la durée de dégradation de ceux-là. Cette pratique est aussi beaucoup plus hygiénique. Il suffit de commencer par le plus simple c’est-à-dire en trois catégories de déchets : le plastique, les cartons et les papiers et enfin les déchets biodégradables. La première catégorie comprend par exemple les bouteilles en plastiques et les sachets. La seconde catégorie est majoritairement constituée par certains emballages ainsi que les paperasses et la troisième par les déchets alimentaires. Ce sont donc les déchets du quotidien.

Eviter de surconsommer

On est dans une société de consommation. On encourage à acheter en permanence surtout dans les pays à économie libérale. Parfois, on se rend compte que la plupart de nos achats sont impulsifs. Il faut donc prendre conscience de ce qu’on a vraiment besoin pour éviter de tout jeter après. Les achats répétitifs encouragent les industries à surproduire et énormément d’éléments sont mobilisés. On parle notamment des emballages. En effet, le marketing est souvent lié à un packaging attractif. Plus un produit a un joli emballage, plus ça nous donne envie de l’acheter et même inconsciemment.

Utiliser des produits naturels

Les produits alimentaires, de beauté et hygiéniques sont ici concernés. Malheureusement, les produits les plus accessibles restent ceux qui contiennent d’innombrables produits chimiques. Non seulement ce n’est pas bon pour l’environnement, mais aussi dangereux pour la santé. Pour le nettoyage, le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude remplacent très bien les produits de nettoyage sur le marché. La différence se ressent aussi dans l’alimentation. On fait souvent recours aux engrais chimiques en agriculture, mais aussi à des colorants chimiques. Il vaut mieux favoriser une alimentation verte et responsable.

Comment combattre efficacement les nuisibles ?

Par exemple, il y a des espèces de nématodes qui sont des vers microscopiques permettant de lutter efficacement contre les vers gris, les vers blancs, les mouches du terreau, le tigre du platane et les capnodes. Ces espèces ont aussi prouvé leur efficacité contre le charançon rouge et des papillons palmivores. Les phéromones sont aussi utilisées pour combattre les taupins, le charançon du palmier, la mineuse du marronnier, le carpocapse des fruitiers, la processionnaire du pin, la pyrale du buis et d’autres encore. Quant aux chrysopes, ils sont des solutions efficaces contre les cochenilles farineuses, les thrips, le tigre du platane et les acariens.

Parmi les prédateurs pour les nuisibles, les coccinelles sont les meilleures. Il existe des espèces de coccinelles qui permettent de lutter contre les cochenilles pulvinaires et les pucerons. En fait, elles mangent plusieurs dizaines de pucerons par jour, leurs larves en mangent jusqu’à 150 et les adultes une centaine. Il faut juste avoir de la tanaisie dans son jardin pour attirer les coccinelles et elles font tout le travail. Les guêpes aussi sont efficaces : elles peuvent capturer jusqu’à 1 500 pucerons durant leur vie de quelques semaines.

Les principes de la lutte biologique

En lutte biologique, inutile de se servir de produits chimiques qui peuvent à la fois nuire aux plantes mais aussi aux humains et aux animaux domestiques. La lutte biologique permet d’épargner les insectes qui ne sont pas des menaces pour le jardin, ce que ne font pas les produits chimiques. Beaucoup sont tentés de faire appel à ces grands moyens pour éradiquer les nuisibles. Toutefois, les traitements chimiques perturbent l’équilibre de l’écosystème et finissent par l’appauvrir de plus en plus. Puis, quand on est conscient que ces produits chimiques contribuent dans une large mesure à la pollution de l’air et du sol, à l’épuisement des ressources naturelles, à la destruction de la biodiversité et des écosystèmes, on comprend l’importance du jardinage biologique.

Il suffit d’utiliser des insectes utiles au jardin pour combattre efficacement les nuisibles. Que ce soit au potager ou au jardin et pour les plantes d’intérieur, de nombreuses techniques respectueuses de l’environnement existent. C’est notamment en se servant d’auxiliaires que l’on peut préserver la flore et les insectes non nuisibles. Il y a les auxiliaires pollinisateurs, les auxiliaires décomposeurs et les auxiliaires prédateurs. Les premiers, les pollinisateurs, favorisent la reproduction des plantes en transférant le pollen de fleurs en fleurs, les seconds, les décomposeurs, transforment les déchets végétaux et animaux en humus et enfin, les derniers, les prédateurs, mangent les nuisibles.

Jardin écologique : quelles économies peut-on faire ?

Avoir son propre jardin écologique ne signifie pas dépenser toute une fortune pour son installation et son entretien. C’est un concept qui vous permet d’économiser tout en contribuant à la protection de l’environnement. Pour réussir ce concept écologique, tout d’abord, vous devez connaître votre sol afin d’éviter le gaspillage dans des produits d’entretien inadéquats. Vous saurez en même temps quels types de plantation y est propice pour en tirer le maximum de bénéfices. Pour l’entretien du sol, appliquer des produits biologiques et utiliser des techniques simples, mais efficaces sont recommandés voire, obligatoires. Par exemple, vous pouvez remplacer les produits phytosanitaires par de la menthe poivrée ou du jus de mégots pour lutter contre les mauvaises herbes. Vous pouvez également utiliser du compost ou du paillis naturel afin de fertiliser le sol pour éviter les engrais chimiques. Quels que soient les déchets organiques dont vous disposez dans ce cas, vous pouvez les transformer en engrais biologiques et ainsi éviter d’en acheter. Il vous est également possible d’utiliser différentes méthodes comme l’utilisation d’ultra-sons pour repousser les oiseaux ou les taupes.

La solution oyas

Privilégier le système d’arrosage par oyas pour dédoubler les besoins en eau est une excellente alternative pour s’imprégner du concept du jardin écologique. En effet, l’arrosage constitue la principale dépense en ce qui concerne l’entretien du jardin. L’utilisation du système des oyas pour l’arrosage est de ce fait consommatrice en eau, et moins coûteuse. Les oyas sont de grandes poteries en terre cuite microporeuse qui sont enterrées à côté des plantes à arroser. C’est un système d’arrosage autonome, écologique, et adapté à tout type de sol. Vous pouvez également les remplir par de l’eau de pluie récupérée en automne et en hiver. Ainsi, vous limiterez l’évaporation après l’arrosage et économiserez environ 50 % d’eau par rapport à un arrosage normal. En hiver, vous pouvez les laisser sous terre à condition qu’elles soient vides et sèches.

Des solutions pour les pertes en amont

Ce gaspillage alimentaire en amont concerne plus les pays en développement et il s’explique en partie par le manque de moyens financiers et techniques ainsi que par les conditions climatiques qui ne sont pas toujours favorables. Les agriculteurs peuvent alors agir en améliorant leurs méthodes de récolte et en prenant en considération le volume de la demande. Sachez qu’il est toujours possible de traiter les excédents alimentaires et de recycler les sous-produits, composter ou récupérer l’énergie des éléments qui ne peuvent plus être réutilisés.

Un consommateur écologique

Même si la grande partie du gaspillage alimentaire ne se situe pas à votre niveau, il y a aussi certains gestes que vous devez adopter pour l’éviter. Est-ce que vous vous êtes demandé ce que les commerçants et les grandes surfaces font des légumes et fruits pourris et des denrées périmées ? Ils les jettent. Pour limiter la quantité des aliments qui vont se retrouver à la poubelle, vous pouvez prendre les produits qui ont une date limite de consommation ou une date limite d’utilisation optimale proche. On peut comprendre que vous voulez de beaux produits dans votre réfrigérateur, mais donnez leur chance aux fruits et aux légumes qui sont moins esthétiques. Dans certaines grandes surfaces, ces produits se trouvent au rayon « moches ». Certes, ils sont moches, mais ils sont goûteux et leurs prix sont moins chers.

Un revêtement offrant une bonne efficacité énergétique

Le revêtement apporte son lot d’avantages pour l’écologie. En effet, cette invention permet de préserver l’intérieur de la maison des rayons ultraviolets en été. L’hiver, elle aide à éviter la déperdition de chaleur. Par temps chaud, ce procédé arrive à un résultat de 70% meilleur qu’avec le vitrage multiple traditionnel ou les films transparents. En période hivernale, l’efficacité de cette invention serait d’au moins 45%. Ainsi, l’efficacité énergétique de cette innovation est mesurable toute l’année. Concrètement, il s’agit d’une couche de dioxyde de vanadium à pulvériser sur les fenêtres. Cette fine couche se transforme en une sorte de métal transparent qui retient les rayonnements solaires et empêche l’échange thermique entre les deux côtés du verre.

Les possibilités infinies du dioxyde de vanadium

Le dioxyde de vanadium est un revêtement surprenant. Il a la particularité d’être beaucoup plus fine que les cheveux humains. A titre de comparaison, l’épaisseur va de l’ordre du millième. Pourtant, l’efficacité de ces particules microscopiques ouvre la voie à de nombreuses possibilités. Ses inventeurs, l’australien Madhu Bhaskaran et ses collaborateurs ont prévu un large champ d’application. Du gratte-ciel au musée, en passant par les immeubles d’habitation, l’isolation sera nettement meilleure et économique. Cette solution est écologique dans le sens où elle peut réduire la facture de chauffage et de climatisation. Le seul maintien de la température ambiante suffira à réaliser des économies considérables. La face du vitrage qui reçoit le revêtement détermine ainsi l’action souhaitée. Cette technologie est encore en cours de mise au point pour une future diffusion à grande échelle.

Comment fonctionne une pompe à chaleur ?

Le fonctionnement d’une pompe à chaleur reste très facile à comprendre. Cet équipement capte la température autour de lui pour ensuite la restituer le moment venu. C’est un système de chauffage économique basé sur l’aérothermie. Tirant ses calories de l’environnement immédiat, cette solution est propre en plus de puiser de l’énergie d’une source inépuisable. Outre l’air ambiant, l’eau ainsi que le sol (géothermie) peuvent aussi partager une quantité de chaleur importante. Il faudrait choisir l’équipement en fonction de l’environnement local.

Les différentes versions de cet équipement

La pompe à chaleur se décline en plusieurs versions. Le modèle le plus connu s’appuie essentiellement sur l’aérothermie classique. En somme, un liquide colporteur capte les calories du milieu extérieur, un peu à la manière d’un chauffe-eau solaire. Cette chaleur sera ensuite redistribuée à l’intérieur d’une pièce. La déclinaison dite pompe à chaleur air-air permet à son tour de réguler la température à la manière d’un climatiseur. Il est aussi possible de réchauffer le plancher.

Une solution de chauffage réellement économique

En optant pour la pompe à chaleur, il est possible de voir la facture de chauffage diminuer de moitié. Dans certains cas, le budget pour chauffer la maison sera même divisé par trois. Étant donné le coût d’une telle installation, la rentabilité ne sera atteinte qu’après quelques années d’utilisation. Puis, il s’agit d’un équipement utilisant les énergies renouvelables. L’idéal serait de le combiner avec d’autres méthodes. Bien qu’économique et propre, la pompe à chaleur a ses limites, notamment l’hiver où peu de calories seront à récupérer dans l’air.

L’éponge

On a cette fâcheuse habitude de prendre du sopalin pour nettoyer le plan de travail et la table, c’est bien pratique. Cependant, vous pouvez prendre l’éponge. C’est économique et écologique. L’avantage, c’est qu’il a une capacité absorbante plus importante et vous pouvez même réussir à vous débarrasser des taches.

Une serviette ou un mouchoir en tissu

Lorsqu’on a des enfants à la maison, on cherche toujours la facilité en utilisant l’essuie-tout pour se nettoyer les mains. On oublie vraiment l’existence de la serviette en tissu à table. Et si on éduquait nos enfants autrement en intégrant l’utilisation de la serviette de table en tissu. Ce sera plus personnalisé et plus convivial. Vous pouvez également glisser dans leur poche un mouchoir en tissu pour qu’ils puissent se moucher ou s’essuyer les mains.

Un bac pour récupérer les épluchures

Lorsqu’on n’a pas du papier journal chez soi, c’est automatique qu’on prend du sopalin lorsqu’on prépare les carottes, les pommes de terre, les radis et les autres légumes. C’est aussi bien pratique, car en un seul coup, vous renfermez le tout et vous le mettez directement à la poubelle. Soyez plus écologique et offrez-vous un petit bac pour récupérer ces épluchures. Au lieu de les mettre à la poubelle par la suite, il est possible de les mettre dans le compost.